Dessin et gravure de Henry Cheffer.
Timbre surtaxé au profit de la Croix-Rouge française.
La malle-poste était une voiture hippomobile destinée à l’origine au transport des dépêches et du courrier en général, apparue en France vers 1800. C’est l’équivalent du mail coach britannique. Elle succeda à la malle-charrette, véhicule affecté au même usage à l’époque de Louis XV et de Louis XVI. Elle pouvait transporter, en plus du courrier, des passagers, et était plus lourde, fermée, à quatre roues, suspendue sur des ressorts, tirée par quatre ou cinq chevaux. La partie avant, le cabriolet, recevait le cocher et un passager à côté de lui. Dans la partie centrale, le coupé, prenaient place trois voyageurs. La partie arrière était la malle réservée au courrier. Les malles-poste étaient plus rapides que les diligences, qui devinrent pourtant prédominantes au cours du XIXe siècle. En France, sous la Restauration, les malles-poste étaient peintes en jaune, puis, sous Louis-Philippe, en gris puce.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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919 |
12frs + 3frs |
1952-03-08 |
1952-10-25 |
Dessin de Raoul Serres. Gravure d’Albert Decaris.
Jean Joseph Marie Gabriel
de Lattre de Tassigny, né le
2 février 1889 à
Mouilleron-en-Pareds (Poitou) et mort le
11 janvier 1952 à
Neuilly-sur-Seine (Île-de-France), était un
général d’armée et
maréchal de
France.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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920 |
15frs |
1952-05-08 |
1952-10-25 |
Dessin et gravure de Gabriel-Antoine Barlangue.
Vestige des fortifications médiévales de Vaucouleurs (Lorraine), la Porte de France faisait à la fois office de porte du château et de porte de la ville. L’édifice originel, édifié au XIIIe siècle, fut emprunté par Jeanne d’Arc et ses troupes en 1429. La porte actuelle fut élevée en 1733 sur les restes de la muraille primitive.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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921 |
12frs |
1952-05-12 |
1952-10-25 |
Dessin et gravure de Henry Cheffer.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la campagne allemande en Norvège commença dès les premiers jours d’avril 1940. Narvik était la dernière cible stratégique pour les Allemands qui avaient rapidement conquis le sud du pays. Ils y arrivèrent avec dix destroyers et balayèrent les garde-côtes faisant face à l’entrée du fjord. Ils eurent peu de répit une fois amarrés au port puisque, le 10 avril, cinq destroyers britanniques firent leur apparition à l’entrée du fjord. et transformèrent le port en un véritable cimetière pour bateaux. Cependant, la flotte allemande parvint à les repousser - mais accusa de sérieux dégâts. Trois jours plus tard, les Alliés envoyèrent huit destroyers et un cuirassé pour déloger l’expédition allemande. En infériorité, celle-ci recula et se réfugia dans les montagnes enneigées qui bordent Narvik, laissant la ville aux mains des Alliés qui reçurent des renforts quelques jours plus tard, portant ainsi leur effectif à vingt-quatre-mille-cinq-cents hommes, soit cinq fois plus que les Allemands. Mais ces derniers, entraînés aux conditions de l’Arctique, résistèrent jusqu’au départ des troupes alliées réquisitionnées pour la bataille de France. Ils reprirent ainsi la ville de Narvik et la tinrent jusqu’à l’invasion soviétique en 1944. Le monument aux morts présenté sur ce timbre fut inauguré le 28 mai 1946 par l’ambassadeur de France en Norvège, Jules Blondel, six ans jour pour jour après la reconquête de Narvik. On peut y lire cette inscription : « La France à ses fils et à leurs frères d’armes tombés glorieusement en Norvège. »
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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922 |
30frs |
1952-05-29 |
1952-10-25 |
Dessin et gravure d’Albert Decaris.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Europe, affligée de destructions et de souffrances sans précédent, dut faire face à de nouveaux défis politiques, et à la réconciliation des peuples d’Europe en particulier. Cette situation fut propice à la réalisation d’une idée ancienne : la construction européenne par la création d’institutions communes. Dans son célèbre discours prononcé à l’université de Zurich, le 19 septembre 1946, Sir Winston Churchill appela de ses vœux la reconstruction de la famille européenne en une sorte d’États-Unis d’Europe et la création du Conseil de l’Europe. Le Congrès de la Haye, en mai 1948, rassembla plus d’un millier de délégués des gouvernements, des décideurs et de la société civile de presque tous les pays d’Europe, afin d’examiner la future structure de l’Organisation. Il y avait là deux écoles de pensée : l’une favorable à une organisation internationale classique dotée de représentants des gouvernements et l’autre penchant davantage pour une tribune politique de parlementaires. Les deux approches furent finalement combinées pour aboutir à la création du Comité des ministres et de l’Assemblée parlementaire. Le Conseil de l’Europe fut fondé le 5 mai 1949 par le Traité de Londres. Son statut fut signé à Londres, le jour même, par la Belgique, le Danemark, la France, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède et le Royaume-Uni. Nombre d’États suivirent, notamment après la transition démocratique opérée dans les pays d’Europe centrale et orientale au début des années 1990. Le Conseil de l’Europe comporte quarante-sept pays et représente huit-cent-vingt-millions de citoyens (données de 2016).
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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923 |
30frs |
1952-05-31 |
1952-06-02 |
1952-10-25 |
Site officiel du Conseil de l'Europe
Dessin et gravure de Pierre Gandon.
Le château de Chambord (Orléanais), emblématique de la Renaissance française, est né du rêve de François Ier, roi de France, qui ramena de ses batailles d’Italie de nombreux artistes, notamment Léonard de Vinci. Nul ne connaît l’architecte de Chambord, mais ce chef d’œuvre semble s’inspirer de croquis du grand maître italien, dont le célèbre escalier à doubles révolutions. Chambord ne fut pas conçu pour être une résidence permanente, mais un pavillon de chasse, réservée à l’époque à la noblesse. François Ier aimait s’y retirer. Il n’y séjourna que très peu, le laissant vide de meubles et d’habitants après chaque passage et, finalement, inachevé. Au fil des siècles, d’autres personnages et rois de France y séjournèrent et continuèrent à l’embellir.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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924 |
20frs |
1952-05-30 |
1954-02-13 |
2 |
Notice du château du Chambord dans l’inventaire des monuments historiques
Site officiel du château du Chambord
Dessin et gravure de Henry Cheffer.
La bataille de Bir Hakeim, du nom d’un point d’eau désaffecté au milieu du désert de Libye, au sud de Tobrouk, est une bataille de la Seconde Guerre mondiale, qui se déroula du 26 mai au 11 juin 1942 durant la guerre du désert. Pendant ces seize jours, la 1ère brigade française libre (future 1ère division française libre) du général Kœnig y résista aux attaques des armées motorisées italiennes et allemandes (l’Afrika Korps) dirigées par le général Rommel. Le répit ainsi gagné par les Français libres permit aux Britanniques, alors en mauvaise posture, de se replier puis de triompher à El Alamein. Bir Hakeim fut la première contribution militaire d’importance des Forces françaises libres. Elle fut pour beaucoup dans la reconnaissance politique par les Alliés du Comité national de la France combattante.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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925 |
30frs |
1952-06-16 |
1952-10-25 |
Dessin et gravure de Henry Cheffer.
Siège d’un évêché depuis le IVe siècle, la ville de Poitiers accueillit l’abbaye Sainte-Croix, première abbaye de femmes de Gaule, fondée par sainte Radegonde, épouse du roi de France Clotaire Ier, en 552. Elle prit ce nom lorsque l’empereur Justin Ier fit don à la reine d’un morceau de la Croix.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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926 |
15frs |
1952-06-21 |
1952-06-23 |
1952-10-25 |
1 |
Dessin et gravure de Raoul Serres.
La médaille militaire est incontestablement la plus belle décoration française. Non hiérarchisée, ne comportant ni grade, ni degré, elle est attribuée aux militaires non officiers de toutes armes. Elle fut instituée le 22 janvier 1852 par décret du prince Louis Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, en écho à la création par Napoléon Ier, cinquante ans auparavant, de la Légion d’honneur, concédée, elle, aux seuls officiers. Depuis lors, elle pend sur la poitrine d’hommes, de femmes et d’enfants, comme autant d’exploits insoupçonnables que la nature humaine révèle dans des circonstances exceptionnelles. Elle décore drapeaux et emblèmes et honore parfois l’insolite.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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927 |
15frs |
1952-07-05 |
1952-07-07 |
1952-12-13 |
Dessin et gravure de Pierre Munier.
Le viaduc de Garabit est un ouvrage ferroviaire situé sur la commune de Ruynes-en-Margeride (Auvergne), qui permet à la ligne des Causses de franchir les gorges de la Truyère. Entièrement métallique, ce pont ferroviaire de cinq-cent-soixante-cinq mètres fut conçu par l’ingénieur des Ponts et chaussées Léon Boyer, et réalisé par Gustave Eiffel de 1880 à 1884. La ligne fut quant à elle mise en service en 1888.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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928 |
15frs |
1952-07-03 |
1952-07-07 |
1952-12-13 |
Notice du viaduc de Garabit dans l’inventaire des monuments historiques
Dessin et gravure d’Albert Decaris.
Léonard
de Vinci, né le
15 avril 1452 à
Vinci (Toscane) et mort le
2 mai 1519 à
Amboise (Orléanais), était un homme d’esprit universel
florentin, à la fois
scientifique,
ingénieur,
inventeur,
anatomiste,
artiste-peintre,
sculpteur,
architecte,
urbaniste,
botaniste,
musicien,
poète,
philosophe et
écrivain.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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929 |
30frs |
1952-07-10 |
1952-12-13 |
Dessins de Paul-Pierre Lemagny (930, 931 et 932), Jean-Paul Pheulpin (933), René Cottet (934) et Pierre Gandon (935). Gravures de Charles-Paul Dufresne (930 et 931), Charles Mazelin (932), Jean-Paul Pheulpin (933), René Cottet (934) et Pierre Gandon (935).
Série de timbres surtaxés au profit de la Croix-Rouge française.
930 :
Gustave
Flaubert, né le
12 décembre 1821 à
Rouen (Normandie) et mort le
8 mai 1880 à
Croisset (id.), était un
écrivain
français. Prosateur de premier plan, il marqua la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L’Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1877).
931:
Édouard
Manet, né le
23 janvier 1832 à
Paris et mort le
30 avril 1883
dans cette même ville, était un
artiste-peintre
français. Initiateur de la peinture moderne qu’il libéra de l’académisme, il est à tort considéré comme l’un des pères de l’Impressionnisme. Il s’en distingua en effet par une facture soucieuse du réel qui n’utilisait pas (ou peu) les nouvelles techniques de la couleur et le traitement particulier de la lumière. Il s’en rapprocha cependant par certains thèmes récurrents comme les portraits, les paysages marins, la vie parisienne ou encore les natures mortes, tout en peignant de façon personnelle, dans une première période, des scènes de genre.
932 :
Camille
Saint-Saëns, né le
9 octobre 1835 à
Paris et mort le
16 décembre 1921 à
Alger (Algérie), était un
pianiste,
organiste et
compositeur post-romantique
français. Il écrivit douze opéras, dont le plus connu est Samson et Dalila (1877), de nombreux oratorios, cinq symphonies, cinq concertos pour piano, trois pour violon et deux pour violoncelle, des compositions chorales, de la musique de chambre et des pièces pittoresques, dont Le Carnaval des animaux (1886). De plus, il occupe une place particulière dans l’histoire du septième art, puisqu’il fut, en 1908, le tout premier compositeur de renom à composer une musique spécialement pour un film, L’Assassinat du duc de Guise.
933 :
Henri
Poincaré, né le
29 avril 1854 à
Nancy (Lorraine) et mort le
17 juillet 1912 à
Paris, était un
mathématicien,
physicien,
philosophe et
ingénieur
français. Il réalisa des travaux d’importance majeure en optique et en calcul infinitésimal. Ses avancées sur le problème des trois corps en font un fondateur de l’étude qualitative des systèmes d’équations différentielles et de la théorie du chaos ; il fut aussi un précurseur majeur de la théorie de la relativité restreinte et de la théorie des systèmes dynamiques. Il est considéré comme un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
934 :
Georges Eugène
Haussmann, né le
27 mars 1809 à
Paris et mort le
11 janvier 1891
dans cette même ville, fut
préfet de la Seine du 23 juin 1853 au 5 janvier 1870. À ce titre, il dirigea les transformations de Paris sous le Second Empire en élaborant un vaste plan de rénovation.
935 :
Adolphe
Thiers, né le
15 avril 1797 à
Bouc-Bel-Air (Provence) et mort le
3 septembre 1877 à
Saint-Germain-en-Laye (Île-de-France), était un
avocat,
journaliste,
historien et homme d’État
français. Il symbolise par son exemple l’évolution des classes dirigeantes françaises, à la recherche d’un nouveau régime politique stable après l’effondrement de la monarchie absolue en 1789. Deux fois
président du Conseil sous la Monarchie de Juillet, il fut un acteur majeur dans la mise en place des régimes politiques qui suivirent l’échec de la Restauration en 1830. Partisan d’une monarchie constitutionnelle, il critiqua l’intransigeance des membres de la famille royale et se rallia finalement à la République. En 1871, après la chute du Second Empire lors de la guerre contre la Prusse, il devint le premier
président de la IIIe République.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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930 |
8frs + 2frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
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931 |
12frs + 3frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
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932 |
15frs + 4frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
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933 |
18frs + 5frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
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934 |
20frs + 6frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
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935 |
30frs + 7frs |
1952-10-18 |
1952-10-20 |
1953-03-21 |
Gravure de Charles Mazelin.
René-Théophile-Marie-Hyacinthe
Laënnec, né le
17 février 1781 à
Quimper (Bretagne) et mort le
13 août 1826 dans son manoir de
Ploaré (id.), était un
médecin
français,
inventeur et metteur au point du diagnostic médical par auscultation (Traité de l’auscultation médiate, 1819). Il est également l’inventeur du stéthoscope.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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936 |
12frs |
1952-11-07 |
1952-11-08 |
1953-03-21 |
Dessins et gravures de Jules Piel.
Paire de timbres consacrés au bassin de Diane (Versailles, Île-de-France) et surtaxés au profit de la Croix-Rouge française.
Recevant la décharge d’eau de la fontaine de la Pyramide, la cascade, dite le Bain des Nymphes de Diane, est ornée de bas-reliefs dont le plus connu, en plomb autrefois doré et situé sur le mur de soutènement, est une œuvre du chevalier François Girardon (1668 - 1670). Les autres sont de Pierre Le Gros l’aîné (1629 - 1714), d’Étienne le Hongre (1628 - 1690) et de Philippe Magnier (1647 - 1715).
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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937 |
12frs + 3frs |
1952-12-13 |
1952-12-15 |
1953-05-30 |
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938 |
15frs + 5frs |
1952-12-13 |
1952-12-15 |
1953-05-30 |
Site officiel de la Croix-Rouge française
Gravure de Henry Cheffer, d’après la peinture de Maurice Utrillo.
Maurice
Utrillo, né
Maurice Valadon le
26 décembre 1883 à
Paris et mort le
5 novembre 1955 à
Dax (Aquitaine), était un
artiste-peintre
français de paysages animés, paysages urbains, peintre à la gouache, aquarelliste, illustrateur, peintre de décors de théâtre. Peinte en 1952, l’œuvre présentée sur ce timbre contribua à la rénovation du château de Versailles (Île-de-France) qui tombait alors en ruine.
N° Yvert et Tellier |
Valeur faciale
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1er jour |
Vente
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Retrait
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Neuf |
Neufs
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Oblitéré |
Oblitérés
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En vente |
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939 |
18frs |
1952-11-07 |
1952-12-12 |
1953-04-07 |